PORTRAIT DE KARINE SUBRENAT,
prestataire pour le DLA
Qu’attendez-vous d’un cahier des charges et d’un diagnostic ? Comment vous en saisissez-vous?
J’aime quand il est synthétique car dans tous les cas, j’appelle le/la CMDLA pour avoir son ressenti, comprendre le contexte général « au delà de l’écrit » et la genèse de la demande.
Qu’attendez-vous à la fin d’une mission DLA ?
La réunion de bilan est un moment fort de l’accompagnement. J’envoie le rapport de mission avant et pendant, je m’assure que tout le monde puisse s’exprimer pour célébrer les réussites et évoquer les éventuels points de blocage. Je m’exprime également sur ces aspects, de mon point de vue.
Pour vous, une mission DLA réussie c’est….
Un changement intégré en profondeur. Un collectif mobilisé et des liens renforcés. C’est donc une mission qui est allée au-delà des aspects organisationnels. Lors d’une mission mon attention est porté sur l’articulation entre l’individu, le groupe et l’institution.
Qu’est ce qui vous anime dans votre métier aujourd’hui ?
Pouvoir insuffler de l’humain, des valeurs humanistes. Travailler en profondeur et en intelligence collective pour dépasser l’addition des individualités. J’ai aussi un fort attachement au réseau DLA.
Un secret de consultant à partager?
Soigner la relation ! C’est avant tout la qualité de la relation qui permet le travail.
Un vœu à formuler pour l’ESS et les associations ?
Une longue vie aux personnes et institutions engagées. Soyons résilients !
Un message à faire passer ?
Quand la structure choisit le prestataire j’aimerais connaitre leurs critères de sélection avant de répondre et, pouvoir échanger avec eux. Certain.e.s chargé.es de mission DLA le permettent.
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